Après la délocalisation d’une centaine d’emplois de gestionnaires de back office à Alger, ce sont maintenant 600 emplois d’informaticiens qui vont être délocalisés dans une nouvelle entité de Natixis créée pour l’occasion à Porto.
Et demain, à qui le tour ?
Le projet Atlas a pour objectif la suppression de 900 postes de prestataires en France, la création de 600 emplois à bas coût au Portugal, dans une filiale implantée à Porto, et l’internalisation de 150 postes occupés aujourd’hui par des prestataires à Paris et Charenton.
150 emplois devraient disparaître, car des automates vont remplacer les femmes et les hommes ! Les projets sont à l’étude.
Ce grand chamboulement se soldera par une charge de travail accrue, une perte de qualité, une perte d’expertise, une modification profonde de l’organisation du travail, avec des services distants de 1500 kilomètres.
Les milliards de bénéfices permettent de mettre en place une politique de maintien et de développement de l’emploi sur tous les sites !